Final Fantasy VIII sur Playstation Jeu Video

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Final Fantasy VIII

 
Final Fantasy VIII
Classé 228 sur 26289 jeux au général
Classé 13 sur 1104 jeux sur Playstation
 
La presse:
(4 Notes)
17.8
Les joueurs:
(30 Notes)
19.0
 
Note globale Catégorie Notez ce jeu
92%
 
 

Final Fantasy VIII - Description

Ce jeu Playstation est sorti le 11/1999. Si vous êtes fan de jeux video de Aventure, faites vous plaisir et jouez y !

FINAL FANTASY VIII-Le voyage de votre vie.
Squall fait partie d'un escadron militaire d'élite et se voit obligé de participer à un conflit dépassant les limites de l'imagination.Dans sa quête,il sera confronté à un rival acharné,une sorcière aux prodigieux pouvoirs,mais aussi à de biens étranges rêves...
Un environnement aux graphismes détaillés et soignés,des personnages réalistes,le tout accompagné d'une musique envoutante.
Une histoire d'amour et de haine,de guerre et de paix,se déroulant dans un monde surprenant.
Le nouveau système d'association(New Junction System)permet entre autre d'attribuer aux personnages des pouvoirs magiques récupérés sur l'ennemi.
Environ 60 minutes d'incroyables séquences cinématiques parfaitement intégrées au jeu!
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Final Fantasy VIII - Images du Jeu Video

Final Fantasy VIII - Playstation
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Final Fantasy VIII : avis des membres



19
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Alors que je me questionne sur la façon dont je vais débuter ce test, une autre interrogation me vient sentencieusement à l'esprit. Une interrogation grave, sévère. Suis-je réellement en mesure de rédiger de manière crédible et impartiale cet article ? Car, nonobstant ma fibre passionnée, je reste lucide, et sais pertinemment que celui-ci est voué à être habité, monopolisé, dévoré par l'adoration sans limite que je porte au jeu dont il est question. Final Fantasy VIII. Un monument en soi, et dans ma courte vie, un tournant. Il me serait difficile de dire à quel point cette oeuvre fut importante à mes yeux. Fait insignifiant, car là n'est pas l'objectif du présent écrit. Non, il m'incombe de vous exposer avec justesse et neutralité les divines vertus exhibées par ce jeu. Là, chers lecteurs, vous vous apercevez que, déjà, je trahis mon voeu d'objectivé, en empruntant un terme au domaine du divin afin de décrire les atouts du produit. C'est promis, je tâcherai de réprimer mes ardeurs tout au long du test. Toutefois, veuillez excuser par avance les sursauts d'idolâtrie qui pourraient entacher votre lecture de cette modeste critique, ils sont pour ainsi dire inévitables.

Quel rôliste digne de ce nom n'a pas, au moins une fois dans sa vie, abordé le sacro-saint Final Fantasy VII...? Plus qu'un jeu, un symbole : celui de la démocratisation du RPG en Europe. Après le largage international de cette bombe, Squaresoft se devait de prendre du recul par rapport à l'impact de son bébé sur la masse de joueurs victimes de ce dernier. Bien sûr, la firme ne pouvait que difficilement en rester là, mais comment envisager sereinement une suite avec une telle pression sur les épaules? Là est toute la question à laquelle notre ami Hironobu Sakaguchi, game-designer et scénariste de la saga, a su parfaitement répondre. Evidemment, tout le monde ne l'a pas entendu de cette oreille, et beaucoup sont restés de marbre face au petit frère de leur jeu fétiche. Ces derniers prétendant, pour certains, que le huitième épisode n'est rien d'autre qu'une romance à l'eau de rose, un téléfilm niaiseux, superficiel et sans intérêt ; en contraste avec la complexité et la richesse scénaristique du précédent volet. La vérité, c'est que Square n'avait aucune chance d'échapper à ce phénomène. Selon moi, il leur était absolument impossible de ne pas décevoir une bonne partie de la communauté FFVII, peu importe la qualité véritable du jeu qui allait suivre. Je ne blâme en aucun cas cette couche de joueurs pro-FFVII, loin de moi cette idée, il est seulement dommage de ne juger un titre qu'en comparaison avec un autre. D'autant plus qu'il est difficile de parler de comparaison lorsque l'on évoque la saga FF, chaque épisode ne retenant de son aîné que quelques références et autres éléments récurrents de la série.

Aussi, Final Fantasy VIII n'a pas grand-chose en commun avec le septième opus. Le système de combat et d'évolution a été entièrement revu, l'univers dans lequel on évolue ainsi que l'ambiance générale sont également totalement inédits, tout comme les personnages, le scénario et la majeure partie du bestiaire. Permettez-moi de me répéter : il ne subsiste pratiquement rien du précédent segment. Honnêtement, je vois mal comment on pourrait s'en plaindre. Citez-moi une seule autre saga vidéo ludique parvenant à se renouveler de manière aussi radicale, en réalisant le tour de force de conserver un tel niveau d'excellence d'un épisode à un autre. Personnellement, je n'en vois pas. Ainsi donc, l'aventure débute par une cinématique en images de synthèse à la beauté intemporelle, nous plaçant spectateurs d'un combat forcené opposant le jeune Squall, notre héros, à son rival de toujours, Seifer. Ce dernier ira jusqu'à blesser superficiellement, mais de manière indélébile, son adversaire. Mais replaçons les choses dans leur contexte. Nos deux guerriers sont en fait des élèves de l'université de Balamb Garden, réputée dans le monde entier pour l'efficacité et le sérieux de sa division phare, le Seed. Les Seeds sont des mercenaires envoyés aux quatre coins du monde dans l'optique simple mais lucrative de servir le plus offrant, permettant à la BGU (Balamb Garden University, la fameuse Fac) de demeurer, en conservant une certaine neutralité diplomatique. Squall et Seifer ne font pas partie de cette section très select, pas encore tout du moins. Et justement, l'examen obligatoire à l'intégration du Seed approche à grands pas ; il s'agira d'aller prêter main forte à une nation voisine accablée par les soudains assauts d'un état jusqu'à présent pacifique.

Squall ne tardera pas à faire la connaissance, dans des conditions, il est vrai, peu propices au développement d'une relation amoureuse (notons que cette dernière ne naîtra explicitement et officiellement que très tard dans le jeu), d'une certaine Linoa, dirigeante d'un groupe de résistants n'approuvant que modérément les méthodes et les ambitions de l'état despotique évoqué précédemment. Evidemment, des rouages scénaristiques autrement plus nombreux et complexes vont, de ce point de départ, naître et se voir développés au fur et à mesure de la progression. Autant vous l'avouer dès à présent, cet aspect du jeu est simplement fabuleux. Loin de n'être qu'une simple histoire d'amour sur fond de guerre, le scénario de FFVIII est d'une richesse et d'une profondeur insoupçonnées. Les mots ne sont pas à la hauteur pour envisager une description du sentiment ressenti par le joueur fébrile, entraîné bien malgré lui dans une telle expérience. La pire des erreurs à commettre est de découvrir le jeu de manière pragmatique et terre-à-terre. Evadons-nous. Ne nous basons pas sur des critères et des données concrets afin de jauger la qualité de ce voyage virtuel. A contrario, laissons s'exprimer notre sensibilité. Soyons réceptifs à la beauté transpirée par le soft, à son charme inaccessible, précieux. Final Fantasy 8 est avant tout un jeu humain. Comment ne pas être ému devant la tendre naïveté et la délicatesse de Linoa? Est-il possible de ne pas s'attacher au ridicule et à la maladresse chronique de Zell? Comment ne pas tomber en béatitude totale face au charme sublime et au charisme infini de Squall...? Tetsuya Nomura dévoile ici tout son génie au travers de personnages superbes, d'une rare humanité. Je vous l'accorde, cette appréciation est subjective et certains pourront ne pas la partager. Impossible en revanche de nier que ces protagonistes ont été l'objet d'un travail considérable, autant par leur design que par leur psychologie respective, au demeurant particulièrement développée et intéressante pour certains.

L'attachement aux personnages est, pour peu que l'on adhère à la manière dont leurs relations sont tissées ainsi qu'à leurs personnalités propres, inévitable. A ce sujet, le relationnel est traité de manière réfléchie et passionnante dans FFVIII. Bien sûr, cette dernière affirmation fait tout de suite penser au couple Squall-Linoa, mais il serait regrettable de penser que l'intrigue se concentre sur cette seule idylle sans se préoccuper du reste du casting, car ça n'est absolument pas le cas. Le lien unissant les deux principaux personnages est d'ailleurs pétri de non-dits et, finalement, peu de scènes s'attardent sur cet aspect du scénario, dans la première moitié du jeu tout du moins. Squall est quelqu'un de renfermé et solitaire qui assume mal les responsabilités (et ce malgré son excellent sens d'organisation et son rôle de chef au sein du groupe). Ses rapports avec ses coéquipiers sont parfois ambigüs et l'on peut difficilement les qualifier d'amicaux ou de chaleureux. Cette distance systématique est-elle due à un traumatisme antérieur ? Le fait que le joueur assiste régulièrement aux réflexions et aux pensées de ce dernier permet de comprendre et de s'associer à ses tourments. Torturé et magnifique, ce personnage est selon moi un véritable coup de génie. Je choisis de ne pas m'attarder sur chaque personnage, ce qui serait inutile et inapproprié dans un test, mais je tenais à vous toucher un mot au sujet du héros du jeu que j'affectionne tout spécialement. Et que dire d'un certain Laguna ? Mystérieux personnage habitant les rêves de nos héros, intervenant de temps à autre, accompagné de ses deux acolytes. Mais... ces uniformes! Des soldats ennemis ? Pathétiques et tendres, ceux-là ne peuvent être de mauvaise augure. L'énigme reste entière, mais tout porte à croire que vous la résoudrez bien assez tôt, si ça n'est déjà fait. Final Fantasy VIII est un jeu intelligent, drôle, passionnant et, plus que toute autre chose, excessivement émouvant. Une expérience forte, sincèrement.

Malgré son âge, le titre reste une référence du point de vue graphique. Disons simplement qu'à son époque, il représentait ce qui se faisait de mieux en terme de 3D pré calculée sur PSX, sans parler des somptueuses scènes cinématiques en images de synthèse qui l'habillaient, tout bonnement époustouflantes. Globalement, difficile de reprocher quoi que ce soit au titre esthétiquement parlant. Square s'est entouré de graphistes de talent, qui n'ont en aucun cas trahi les ambitions avouées du jeu : se placer comme le plus beau RPG console. Alors évidemment, certains se seront insurgés face au caractère fantastique de cet univers virtuel, parfois même proche de la SF. Evidemment, ça n'a plus grand-chose à voir avec l'atmosphère médiévale Heroic Fantasy des premiers opus, un virage amorcé à partir de FFVI, en fait. Si l'on parvient à dépasser ce cap, il est plus aisé de se rendre compte de l'impressionnant travail artistique insufflé aux environnements. Enormément de formes arrondies et de matériaux futuristes aux couleurs chatoyantes ont été implantés, donnant à l'ensemble un aspect très moderne, mais ne prenant pas le risque d'aller jusqu'à rendre omniprésent ce rendu technologique et ultramoderne. Le tout est modéré à la perfection, sobre et surprenant à la fois. Inutile de préciser qu'en plus du cadre urbain, une certaine variété touche les nombreux donjons : de la simple forêt perdue à la citadelle la plus immense, en passant par une foule de temples, de cavernes ou d'édifices plus ou moins accueillants. En plus de la 3D pré calculée dont proviennent les écrans de lieux tels que les villes et les donjons, la 3D véritable est également très présente, sur l'atlas d'une part, et lors des affrontements d'autre part, les arènes de combat ne pouvant bien évidemment pas se contenter de décors fixes. Celles-ci sont pour la plupart assez jolies, aucune n'est bâclée et le résultat final se révèle plus que satisfaisant.

Comment évoquer l'aspect graphique du soft sans s'attarder sur les sorts et autres invocations ? Bien sûr, les effets spéciaux ont perdu leur éclat d'autrefois, mais souvenons-nous une seconde de la baffe qu'ils nous ont collée jadis. Si certaines magies telles que Sidéral, Quake ou l'incontournable Ultima impressionnaient, ce fut bel et bien les invocations, ou G-Forces, qui nous ont le plus scotchés. D'une majesté sans commune mesure avec les invocations vues précédemment dans la saga, ces entités divines dévoilent leur toute-puissance au moyen de sublimes séquences leur étant dédiées. Point de discussion possible, ce jeu est sublime. Pour ne rien gâcher, la bande son se paye le luxe d'être du même niveau. Le grand Nobuo Uematsu peut enfin donner libre court à son génie grâce aux capacités sonores du support : le résultat est purement providentiel. Liberi Fatali, le thème d'intro, donne le ton : juste sublime. L'hétérogénéité de l'OST donne lieu à une diversité bienvenue de sentiments et d'atmosphères. Magique, c'est peut-être le mot qui conviendrait le mieux. Si bien que je ne peux m'empêcher de citer quelques unes de mes pistes favorites, au cas où vous auriez l'occasion de vous procurer ladite OST. Mentionnons par exemple la douceur amère et mélancolique de Roses And Wine ; le mystère oppressant de Succession Of Witches et Fithos Lusec Wecos Vinosec ; la tendresse touchante de Fragment Of Memories ; la fabuleuse excentricité de Silent And Motion ; la grandeur effrayante du thème de Lunatic Pandora ; la beauté morose de Compression Of Time ; la force homérique de The Legendary Beast ; la puissance déchaînée de The Extreme ou bien la rigueur martiale d'Ouverture... De l'émotion à l'état brut, vous dis-je. Un des gros points forts du jeu, assurément. Cet avis est strictement personnel, mais il ne m'apparaît pas quUematsu ait composé avec autant de talent pour un autre Final Fantasy.

Quid du gameplay ? Eh bien, comme tout le reste, il relève du coup de génie, et ce malgré quelques oublis/contraintes. Oubliez les materias du septième opus, accueillez comme il se doit le système d'associations. Car il faut savoir qu'à peu près tout ce qui concerne l'évolution et les compétences des personnages tourne autour de celui-ci. Essayons de faire du simple avec du compliqué : en premier lieu, vous aurez besoin d'une G-Force (les fameuses invocations). Ces dernières gagnent de l'expérience et des niveaux, au même titre que les personnages, ce qui augmente considérablement leur puissance d'attaque ainsi que leur HP. Des HP ? Oui, car il ne s'agira plus de les envoyer sur le front le temps de déclencher leur attaque, mais de les invoquer à proprement dit. Cela peut durer plus ou moins longtemps, quelques secondes généralement, pendant lesquelles les attaques essuyées par le perso en question seront encaissées par la G-Force en cours d'invocation. Si elle meurt, son assaut est annulé. Mais le plus important est que ces mêmes G-Forces ont la faculté d'assimiler des compétences diverses et variées. Surplus de HP, capacités de soutien, augmentation de caractéristiques... Et beaucoup d'autres. Ces compétences sont vitales afin de préparer au mieux vos personnages aux rudes affrontements qui les attendent. Autre spécificité du système : l'association de magie aux caractéristiques. Car le principe du level-up, c'est bien, mais ça ne suffit pas toujours (notons d'ailleurs que dans FFVIII, les ennemis ainsi que les boss évoluent parallèlement aux protagonistes principaux en terme d'exp, on aimera ou pas...). Il est donc conseillé d'utiliser la magie en votre possession en l'associant aux attributs des membres de l'équipe (attaque, défense, vitesse etc.).

Mais attention, toutes les caractéristiques ne sont pas associables par défaut, loin s'en faut. Toutes doivent être débloquées dans le menu d'associations, grâce aux G-Forces unies au personnage concerné. A titre d'exemple, si une invocation permet uniquement de booster la vitesse (ce qui signifie qu'elle a déjà assimilé une capacité liée à cette caractéristique), seule cette dernière (la caractéristique vitesse) pourra être décuplée grâce aux magies qui lui seront associées. On se rend alors compte de l'importance capitale des G-Forces : sans elles, rien ou presque n'est possible. Autres exemples : associer un stock de Brasiers X à la Vigueur (attaque), ou des Vies Max aux HP. Les augmentations constatées dépendent du nombre de magies en stock. Ce qui nous amène à nous pencher sur un autre aspect du gameplay : le stockage de magies, plus ou moins apprécié des fans de la série. En effet, les sorts magiques ne s'utilisent pas au moyen de MP (les Magic Points, qui sont absents de cet épisode), mais se récupèrent de différentes manières telles que le vol ou les sources de magies (dispersées un peu partout dans le monde), puis s'emmagasinent au fur et à mesure, un peu comme les objets. Aussi, attention avant d'utiliser un sort en combat : vérifiez au préalable qu'il vous en reste suffisamment. En plus de ça, les immunités et résistances aux diverses altérations d'état peuvent elles aussi être renforcées, suivant le même principe d'associations de magies. Si vous êtes un peu, voire complètement embrouillés par ces quelques explications chaotiques, ne vous en faites pas, rien d'anormal. Ce système d'associations est d'une rare complexité ; de ce fait, sachez que je ne vous ai énoncé que les bases de la méthode, les règles les plus rudimentaires (les subtilités et les techniques avancées à découvrir se comptent par dizaines). Certainement le plus délicat à adopter de prime abord, ce concept n'en est pas moins un des plus permissifs et passionnants de la saga. Une fois parfaitement maîtrisé, il offre une liberté totale quant à l'évolution et la customisation des personnages. Grisant et génial !

Au fait, qu'en est-il des combats proprement dits? Disons qu'un fan moyen de la série s'y retrouvera sans souci. Outre les actions basiques que sont Attaquer, Voler, Magie, G-Force et Objets, de nombreuses commandes supplémentaires deviendront disponibles à mesure que vous remporterez de nouvelles invocations. Ces dernières sont au nombre de 16, sans compter les quelques-unes secondaires, n'apparaissant pas dans le menu et agissant à leur guise. La majorité devra être combattue avant qu'elles ne rejoignent votre groupe. D'autres sont carrément des lots à voler à certains Boss. Précisons que le fait de changer l'arme d'un personnage est anecdotique, voire dispensable. D'ailleurs, il n'existe pas d'équipement outre les ustensiles offensifs : pas d'armure, de protection ou d'accessoire ; tout se fait via le système d'associations. Pour pallier à cela, le nombre d'objets est simplement faramineux. De la simple Potion jusqu'à l'H-Espace rarissime, il en existe de toutes sortes, les plus précieux étant ceux qui permettent d'apprendre une nouvelle compétence à une G-Force. Dis donc, j'arrive à la fin de l'article, et je me rends compte que je n'ai pas encore évoqué l'excellent jeu de cartes ! Véritable jeu dans le jeu, il a ses règles et ses gains (qui valent grandement la peine de s'y intéresser de près) et fait office de passe temps fabuleux : préparez-vous à enchaîner d'innombrables parties ! D'ailleurs, autant vous prévenir, la durée de vie est véritablement colossale. Si l'on ajoute à l'intrigue principale, qui vous occupera déjà une grosse quarantaine d'heures, la multitude de quêtes annexes et de donjons cachés, attendez-vous à dépasser allègrement les 150 heures de jeu...

C'est avec la désagréable impression d'avoir omis l'essentiel que je me vois contraint de mettre un terme à ce test. En tout franchise, Final Fantasy VIII c'est avant tout une question de feeling et de vécu. Déception pour certains, expérience inoubliable pour la majorité. Pour ma part, rarement un jeu aura compté à ce point dans ma vie, honnêtement. Et ce, tant du point de vue ludique qu'affectif. Un chef-d'oeuvre qui touche au plus profond de l'être, de façon sublime et inexplicable. Car en prenant un tant soit peu de recul, on s'aperçoit que ce jeu n'a en aucun cas révolutionné son genre. Pourtant, son gameplay, ultra complexe et hautement travaillé (je pense principalement au fantastique système d'associations), se révèle passionnant à bien des égards et, plus encore, son aura unique capture littéralement le joueur y étant réceptif, le déchire tendrement, sans plainte ni heurt, mais avec une force déroutante. C'est étrange d'avoir l'impression que le personnage que l'on contrôle avec passion et fébrilité est réellement important à ses yeux. Malsain dites-vous ? Peut-être, mais sacrément intense. En fait, c'est un ensemble de petites choses et de grandes découvertes qui font de ce jeu bien plus qu'un jeu ; un choc émotionnel fort et constant. Quoi vous dire d'autre, si ce n'est qu'il serait purement criminel de se priver d'un tel joyau vidéo ludique. Si j'exagère ? Evidemment que j'exagère... Après tout, puis-je encore faire semblant d'avoir conservé ne serait-ce qu'un minimum d'objectivité dans cet article ? Non, et peu importe. Toutefois, je suis persuadé que le jeu mérite amplement la note que je lui ai attribuée. Je ne saurais de toute façon descendre en dessous de ce reflet de quasi-perfection, à la signification toute particulière. Au fond, existe-t-il un jeu proprement parfait ? Non, mais nombre de jeux dépassent de loin la simple notion de perfection, péjorative et insensée, et Final Fantasy VIII en fait partie. Une fièvre tendre et amère s'apprête à vous envahir, faites en sorte d'y succomber...



20
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Ce jeu est une bombe je n'arrive plus à m'en détacher.



20
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Sacré jeu même en novembre 2006.



18
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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ca reste une des meilleurs reference en rpg. Graphisme toujours au top malgre l'age.un hit



19
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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tres bon jeu.Inoubliable



20
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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le plus grand jeu!!!!!!!!!!!



20
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Ce jeu est tout simplement génial



20
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Un des plus grand jeu pour moi et meilleur FF sur Play one ^^



19
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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J'ai adoré l'histoire et les personnages.



19
bejito [ Niv: 47; Exp: 530765 ]
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J'attendais ce Final Fantasy VIII comme le messie à l'époque de sa sortie et je n'ai pas été déçu par cette opus.Ce que j'ai aimer c'est de voir enfin des persos adultes et non SD comme le 7.Ce jeu et tous bonnement superbe quand on se met dans le contexte qu'on es sur ps1,tous est beau même les cinématiques en mettes plein les yeux et les persos surtout squall sont charismatiques du grand art.Le jeu est très long et les quêtes annexes rajoute de la durée de vie,Squaresoft nous a sorti encore un grand jeu comme d'hab. -Les plus:
-Longues durée de vie.
-Les persos.
-Les quêtes.
-Les invocations
-Les cinématiques.
-Le jeu de cartes.
-La collection de cartes.
-Les moins:
-Certaines quêtes difficiles.
-Parfois le jeu de carte.
-Le jeu a une fin.



20
Psyderian [ Niv: 32; Exp: 125620 ]
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Mon Premier Final Fantasy <3 celui que j'ai recommencer il y a quelque jour je ne m'en lasse pas....



19
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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jeu sans accroc. Mon jeu préféré depuis toujours. Un must à jouer pour tout les geeks et autres

 
 
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Final Fantasy VIII

Support Playstation
Editeur Squaresoft
Développeur Squaresoft
Genre Aventure
Sortie officielle Nov 1999
Joueurs max 1 en local
Import NON
Titre alternatif FF 8 / FF VIII
UPC/EAN 711719194224
 
 
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Revue de Presse des Jeux Video
Gamekult 16/20
Gamespot 19/20
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