The Elder Scrolls IV : Oblivion sur PC Jeu Video

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The Elder Scrolls IV : Oblivion

 
The Elder Scrolls IV : Oblivion
Classé 399 sur 26289 jeux au général
Classé 30 sur 2073 jeux sur PC
 
La presse:
(4 Notes)
18.3
Les joueurs:
(4 Notes)
17.8
 
Note globale Catégorie Notez ce jeu
90% A
 
 

The Elder Scrolls IV : Oblivion - Description

Ce jeu PC est sorti le 03/2006. Si vous êtes fan de jeux video de , faites vous plaisir et jouez y !

LEVEZ LE VOILE DES TÉNÈBRES L'Empire est sur le point de s'écrouler, les portes d'Oblivion s'ouvrent et les démons envahissent le pays. Vous devez à tout prix retrouver l'héritier du trône et découvrir le funeste complot qui menace de détruire Tamriel.
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The Elder Scrolls IV : Oblivion - Images du Jeu Video

The Elder Scrolls IV : Oblivion - PC
Recto de la pochette
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Verso de la pochette
The Elder Scrolls IV : Oblivion - PC
Media du jeu
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Screen du jeu
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The Elder Scrolls IV : Oblivion : avis des membres



18
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Gigantesque ! Magnifique ! Tolkienique ! L'une des plus grandes épopées du jeu video. Voilà quelques mots qui suffiraient à décrire le nouveau bébé de Bethesda Softwork. Un jeu inoubliable et magnifique qui vous fera regretter d'avoir une copine et un boulot, et qui une fois terminé, vous laissera un goût de miel et de lait dans la bouche. Il ne vous restera plus qu'une seule envie : le recommencer !

Alors oui ! D'entrée d'article je le dis: j'ai aimé Oblivion, bien plus que Morrowind d'ailleurs. Par où commencer ? Tellement de points positifs me viennent à l'esprit, tellement de compliments peuvent se lire au travers de mes lèvres. Oblivion est la suite de Morrowind qui était elle même la suite de Daggerfall et Arena, peut être que ces trois tests verront un jour la lumière, peut être même de main qui sait.

Oblivion: c'est d'abord une évolution graphique ! Un moteur magnifique tant au niveau des personnages non joueurs (PNJ) que des environnements. Oublions les cartes quelque peu vides de Morrowind. Oublions son relief et sa forêt sans action. Ici, la forêt est en mouvement, le nouveau moteur graphique lui ayant donné une force et une forme incroyable. Les reliefs sont variés et profonds : on y distingue des crevasses, des pics, de grandes plaines. Les villes se trouvent en bord de mer ou dans les terres. Cyrodiil dispose donc d'une construction graphique plus impressionnante que celle de Morrowind. Le level design est unique et travaillé pour toutes les maisons. On y distingue des petits taudis dans le port de la cité impériale et d'importantes demeures à Ledjawick. D'ailleurs, j'ai oublié de parler de la distance de vue : elle ne se mesure plus en mètres ou en centaines de mètres mais bien souvent en kilomètres. On peut donc se surprendre à admirer la cité impériale d'une montagne, avec la possibilité de distinguer la tour impériale un peu partout dans Cyrodiil. Mon Dieu, mon Dieu, que c'est plaisant et que c'est beau.

Oblivion ne vaut d'ailleurs pas que pour son aspect graphique, mais aussi par un scénario bien léché et dramatique. Alors là aussi, oublions la quête principale de Morrowind, bien trop absente de l'opus. Ici, les personnages sont charismatiques et intenses, et les problèmes de Cyrodiil nous affecteront tôt ou tard, grâce à un monde en intéraction certaine. Toutes les quêtes que vous résolverez auront un impact sur le monde et la façon dont on vous perçoit. D'ailleurs, j'ai entendu ça nombre de fois sur des RPG, c'est peut être la première fois que je vois cela aussi bien retranscrit. C'est peut être dû aux dialogues entre les personnes de la cité, cela donne un certain rythme et une action au titre. Le scénario débute donc à la mort du roi. Cela pourrait être un événement sans conséquences, hélas le roi n'a pas d'héritiers, et c'est à nous, modeste aventurier, qu'il va confier la quête de rechercher son unique fils. Hélas, un malheur n'arrive jamais seul et très vite, vous allez comprendre qu'il y a un autre problème au fait que Cyrodiil n'ait pas de rois. Car, les vents de dragon (je crois que c'est le nom) protégaient Cyrodiil tant que le roi était en vie. Lui décédé, et n'ayant aucun fils de son sang, on constate l'apparition de portes rouges dans tout Cyrodiil. Ce sont les portes d'Oblivion, elles nous guettent dans l'ombre et frappent rapidement. D'où l'obligation de résoudre la quête principale. Cette dernière est donc plus présente et plus pressante que dans Morrowind, elle y donne une connotation tragique et la magie ne fait qu'opérer. Des nuits entières, j'ai planché sur cette quête. Traversant Cyrodiil de part et d'autre, avec pour unique compagnon mon cheval. Donc, oui, la quête d'Oblivion est là ! Elle est magnifique ! Je ne puis vous conter la fin de la quête, mais je vous encourage à la faire tellement son dénouement est impressionant, magique je dirais même.

Autre point dont je n'ai pas encore parlé : la bande son ! Les thèmes sont magnifiques, notamment celui de la scène d'introduction quand le roi narre les bribes de son histoire. Une musique bien plus impressionnante que la timide musique de Morrowind. Quant aux dialogues, ils sont tous en français et sont parlés, autrement dit, ils donnent un véritable aspect discussion, puisque les PNJ répondent aux questions (logique) mais sous forme sonore. Ce n'est plus seulement de la lecture bête et méchante, c'est de l'écoute. De l'écoute facilitée par des doublages d'une qualité exceptionnelle. Des dialogues qui gagnent en intensité et en finesse. Une réussite exemplaire. Un petit point noir est cependant à noter : les traductions ! Elles ne sont pas toujours présentes. Souvent, le texte d'une quête sera en anglais. Un bug (ou un oubli ?) assez inadmissible pour un jeu de la trempe d'Oblivion. Les traducteurs n'auraient ils pas pu faire le boulot correctement ? Bref, un point noir qui passe assez mal étant donnée la qualité du titre que nous livre Bethesda.

Sur le plan des nouveautés, on peut aussi parler de l'ajout d'un système de crochetage des portes entièrement repensé. Il nous laissera plus de liberté, Il ne va certes pas aussi loin qu'un Splinter Cell ou un Dark Project, mais force est de constater que l'idée est bonne et qu'elle a été plutôt bien acceptée. Autre nouveauté, cette fois sur le plan des voyages : des voyages rapides d'un point à l'autre de la carte via la carte justement. Il faut que vous soyez en extérieur (c'est-à-dire pas dans une maison ou un donjon) et en sécurité. Vous cliquez sur une autre ville et zoupla boum ! Vous y êtes. On observe aussi l'arrivée des chevaux. Ils sont simples à contrôler, élégants et apporteront un petit côté Seigneur des anneaux au titre. Encore une fois, la flèche fait mouche dans la cible. Tout comme l'apparition de parades qui dynamisent le soft d'une fort belle façon. Les combats à l'épée ont donc une seconde naissance.

Que dire de plus tellement les avancées sont grandes et les points négatifs sont rares. On pourra signaler que la carte ou plutôt la map monde est vraiment mal foutue. Son format est ridicule et il est impossible de l'agrandir ou de l'ajuster à l'écran, c'est tout de même assez frustant non ? On note aussi quelques bugs graphiques de temps en temps, mais rien d'ennuyeux.

100 heures de jeu ! Voilà, le temps que j'ai passé sur ce jeu. Un record pour quelqu'un qui passe rarement plus de 20 heures de jeu sur un titre. Mais cette fois, les conditions étaient réunies pour faire d'Oblivion un titre exemplaire, à posséder et à déguster. Un jeu qui vaut d'ailleurs bien sa récompense de GOTY (Game of the Year). Oui, Oblivion est mon jeu de l'année, et toutes catégories confondues. Surpassant de loin tout ce à quoi j'avais pu jouer. Son frère ennemi Gothic3 ne m'a pas autant satisfait loin de là. Car, peut être trop libre ou trop dur. Oblivion est un titre porteur, et restera longtemps comme un très bon jeu. Alors si The Elder Scroll IV était aussi bon, que sera-t-il du V ? Ma copine peut craindre le pire, et moi le meilleur.



16
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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Oblivion est un bon jeu de rôles, mais un mauvais Elder Scrolls. Pour qui a connu l'extase ludique de Daggerfall ou même de Morrowind, quelle déception que ce Oblivion, avec tous ses coups de couteau dans le dos de la série ! Le gameplay est ainsi grandement simplifié pour satisfaire le grand public : voyage rapide, objectifs des quêtes trouvables en deux secondes, scénario bidon... Seules deux choses restent dans l'esprit de la série : la modélisation ratée des personnages (enfin ils sont bien modélisés, mais c'est comme si on avait modélisé des gens moches) et des bugs à la pelle (même s'il y en a moins qu'avant). Après, les décors sont d'une beauté renversante mais là aussi tout n'est pas parfait : exit l'ambiance originale de Morrowind ! On se retrouve avec une atmosphère classique d'heroic-fantasy. L'univers est certes fouillé, mais classique. Malgré tous ces défauts, Oblivion est prenant et engouffrant, certains passages sont de véritables coups de maître : les quêtes de la Confrérie Noire en tête.



18
[ Niv: 0; Exp: 0 ]
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100 heures, je dois les avoir sûrement atteint, un jeu accrocheur, même hypnotisant, ou plutôt envoutant, mon favori, mon must dans le genre. On retrouve tout ce qu'il y avait dans Morrowind (ou presque), son prédécesseur, des musiques charmantes, un univers extrêmement riche, ouvert, varié, immense. Des heures et des heures de fun, d'humour, de combats, d'exploration, de subtilité, de recherche, de traque... Des missions très variées, de nombreuses classes disponibles dont un éditeur, une création de personnages très complète, trop de chose à dire, en résumé, si vous êtes en manque de RPG bouffeur de temps libre (et même de temps pas libre des fois), Oblivion vous attend à bras ouvert. Ne l'obliviez pas.



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Ce jeu est vraiment mortel. Je n'ai jamais vu de jeu aussi bien fait qu'Oblivion.

 
 
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The Elder Scrolls IV : Oblivion

Support PC
Editeur 2K Games
Développeur Bethesda Softworks
Genre
Sortie officielle Mar 2006
Joueurs max 1
Import NON
Titre alternatif n/c
UPC/EAN 093155120600
 
 
The Elder Scrolls IV : Oblivion : Espace membre
2 membres ont ce jeu dans leur collection
 
 
Revue de Presse des Jeux Video
Gamekult 18/20
IGN 19/20
jeuxactu.com 18/20
Jeuxvideo.com 18/20
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